
La dopamine : l’hormone du désir, de l’élan et de l’envie d’être vivante
Il y a dans ton corps une énergie subtile qui précède l’action. Un frisson qui te pousse à te lever, créer, toucher, jouir, changer… C’est la dopamine. L’hormone du désir, de la motivation, du plaisir de l’attente. Elle te donne l’élan de commencer, le feu d’exister, la vibration de dire oui à la vie. Qu’est-ce que la dopamine ? C’est un neurotransmetteur essentiel à la motivation, au plaisir, au mouvement et à la concentration. Elle circule dans ton cerveau quand tu ressens : ✔ de l’anticipation, ✔ de la curiosité, ✔ une montée d’excitation, ✔ un désir à venir. La dopamine est une hormone d’initiation : elle donne envie de faire, d’aimer, de bouger, d’essayer. Pourquoi elle est si précieuse ? Parce qu’elle : ✔ stimule la motivation et le plaisir ✔ donne de l’élan sexuel ✔ soutient la créativité ✔ combat l’apathie ✔ active le système de récompense (positivement ou négativement) Dopamine et sexualité féminine La dopamine est souvent oubliée quand on parle de sexualité féminine. Et pourt

L’ocytocine : l’hormone du bonheur, un trésor féminin
Il y a dans notre corps une hormone précieuse, souvent appelée "hormone du bonheur", ou encore "hormone de l’amour". Son nom ? L’ocytocine. Discrète mais puissante, elle tisse les liens invisibles qui nous relient les uns aux autres. Elle joue un rôle central dans notre bien-être, et tout particulièrement dans la vie des femmes. Cette hormone produite par l’hypothalamus et libérée par l’hypophyse, agit comme un messager chimique dans le corps et le cerveau. Connue pour ses effets pendant l’accouchement et l’allaitement, elle est aussi essentielle dans les relations humaines : attachement, confiance, tendresse, plaisir… Elle est partout où il y a du lien et de la douceur. L’ocytocine se libère dans des situations simples mais précieuses, quand nous sommes en relation. Par, un câlin, un regard tendre, un moment de partage, un contact peau à peau, un orgasme, une parole douce, un allaitement, une main tendue. Ce qui déclenche l’ocytocine, c’est la qualité du lien. Elle nous invite à ralen

L’été arrive… et si on arrêtait de maltraiter notre corps ?
L’été arrive, et avec lui, sa cohorte d’injonctions : "Il faut maigrir." Plus vite, plus fort, plus mince, plus sexy. Et bien sûr, des corps parfaits s’étalent sur les réseaux comme des standards inaccessibles, des modèles hors-sol. Mais si l'on souhaite vraiment mincir , vraiment, du fond du cœur, en conscience il est essentiel de comprendre pourquoi notre corps se met parfois en surcharge. Pourquoi il s’alourdit, se protège, s’épaissit. Quand l’environnement devient agressif , un amour toxique, un travail oppressant, une famille étouffante, notre esprit crie : "On m’agresse." Et le corps, ce fidèle soldat, transforme cette agression en "ma-graisse". Il fait barrière, il amortit, il enveloppe. On se cache dans une rondeur rassurante. On compense avec des douceurs. On panse nos plaies avec du sucre, du gras, du trop. Parfois, on ne trouve pas notre place, alors on prend de la place. On grossit pour exister, pour dire : "Je suis là, regardez-moi." Et d’autres fois, on a peur d’être vue.